En décembre, plusieurs plaintes avaient été déposées par des familles dans l’ouest piscénois (Hérault).
Depuis quelques mois, un adolescent aurait eu des gestes équivoques sur des enfants.
Me Delphine Serrier, avocate saisie du dossier par celles-ci, confirme la constitution des parties civiles.

Dans cette affaire il s’agit d’enfants agés d’une dizaine d’années dont les parents ont tenu à témoigner :
« Nous voulons montrer à nos enfants qu’on les a entendus afin de les aider. Il ne doivent pas garder cela pour eux. »
« Je n’en aurais jamais rien su si je n’avais pas questionné mon enfant ! Si ça se trouve, d’autres victimes ne se sont pas encore exprimées. » explique une maman qui dit avoir interrogé son fils après avoir entendu parler de l’affaire.

Le fils d’un des autres parents s’était senti beaucoup mieux après la déposition faite auprès de la gendarmerie assurent sa mère.

Dans la solidarité, les parents se sont constitué partie civile après s’être regroupé. Selon eux, Ils n’ont « rien vu venir » et souhaitent évidemment protéger leurs enfants.
L’adolescent en question aurait fait l’objet de mesures d’éloignement à son encontre en attendant le jugement.